1882-2012 : 130 ans aux côtés des sapeurs-pompiers !

A l'occasion de ses 130 années d'existence, la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France vous invite à (re)découvrir les concepts et moments clés qui l'ont façonnée, et font d'elle aujourd'hui encore le socle toujours plus vivant pour tous les sapeurs-pompiers. Chaque jour de la semaine, un fait marquant de son histoire vous est proposé.

vendredi 18 mai 2012

[ LE DÉFIBRILLATEUR, L'AUTOMATISATION QUI SAUVE ]



La première syllabe du mot « fibrillateur » révèle l’action de l’appareil sur une fibrillation ventriculaire : ce « », du latin dis, indique la négation, la privation. Or, une fibrillation (de « fibres », « fibrilles »), il faut au plus vite « s’en priver ».

jeudi 17 mai 2012

[ LA BRÈVE ET RÉCENTE HISTOIRE DU SSSM ]


Il y a toujours eu des médecins parmi les sapeurs pompiers, essentiellement pour les prendre en charge lors de blessures en service. 
Dans la Rome Antique, parmi les 6000 « vigiles du Feu » ils étaient déjà 28. C’est surtout à partir des années 1960 avec l’apparition de cet énorme fléau qu’a été l’accidentologie routière que très rapidement les corps de sapeurs-pompiers ont demandé à des médecins de les rejoindre pour assurer une meilleure prise en charge des blessés de la route. 

mercredi 16 mai 2012

[ LE MANIFESTE DE 2007 SUR LE SAP ]


Le manifeste sur le secours à personne :  «  Un orage dans un ciel bleu ! »
Samedi 4 octobre 2007 au matin, l’ambiance est chaude dans la salle du Zénith de Clermont-Ferrand où plus de 1500 sapeurs-pompiers attendent M. Nicolas Sarkozy, le président de la République. Par l’intermédiaire de leur président le colonel Richard Vignon, ils vont lui remettre, dans quelques instants, le manifeste qu’ils préparent depuis des mois. Cet ouvrage procède du constat que malheureusement font quotidiennement les chefs d’agrée des VSAV (véhicule de secours et d’assistance aux victimes) sur la dégradation de secours d’urgence. Il a une ambition : réformer, avec la victime au centre de cette préoccupation.

mardi 15 mai 2012

[ LE SECOURS AUX ASPHYXIÉS ]



Le mot asphyxie, attesté en 1740 — du grec a (préfixe privatif) et sphuxis, « pouls » —, désigna d’abord, conformément à son étymologie, « la mort par arrêt des battements du cœur » ; puis, à partir de 1880, un « état pathologique déterminé par le ralentissement ou l’arrêt de la respiration » (Grand Robert).

lundi 14 mai 2012

[ PEUT-ON DIRE SAPEUSE-POMPIÈRE ? ]



Peut-on dire « une sapeuse-pompière » ?
D’accord, le mot sonne moche, mais il obéit aux Directives officielles de féminisation des noms de métiers, fonctions et grades.